Neuvième Festival (2019)

Neuvième festival

« de l’Utopie dans les toiles »

de Sainte-Livrade

mardi 26 novembre / mercredi  27 /  jeudi 28 / vendredi 29 /  samedi 30

dimanche 1 décembre   /  lundi 2 décembre   / mercredi 3 décembre 2019


MARDI 26 Novembre

20h45 : GLORIA MUNDI  

(de Robert Guédiguian, France, 1h55)  en AVANT-PREMIERE
Daniel sort de prison où il était incarcéré depuis de longues années et retourne à Marseille. Sylvie, son ex-femme, l’a prévenu qu’il était grand-père : leur fille Mathilda vient de donner naissance à une petite Gloria. Le temps a passé, chacun a fait ou refait sa vie… En venant à la rencontre du bébé, Daniel découvre une famille recomposée qui lutte par tous les moyens pour rester debout. Quand un coup du sort fait voler en éclat ce fragile équilibre, Daniel, qui n’a plus rien à perdre, va tout tenter pour les aider.

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MERCREDI  27 novembre :

  • 15h : L’ÎLE DE BLACK MÔR

(de Jean-François Laguionie, France, 1h21)

En 1803, sur les côtes de Cornouaille, Le Kid, jeune garçon de quinze ans, s’évade de son effroyable orphelinat avec pour seule richesse la carte d’une île au trésor censée le mener à l’Île de Black Mór, un célèbre pirate. avec deux compagnons de route, Mac Gregor et La Ficelle, ils volent un bateau, Le Fortune, et naviguent sur l’Océan Atlantique. Mais rien ne se passe comme prévu…

  • 15h :TEMPORADA (Brésil, 1h52)

Pour prendre un nouveau poste d’employée au service municipal de la propreté, Juliana quitte les quartiers du centre-ville d’Itaúna pour la métropole de Contagem au Brésil. Tandis qu’elle attend que son mari la rejoigne, elle s’adapte à sa nouvelle vie, fait des connaissances, s’ouvre à de nouveaux horizons et essaie de surmonter son passé.(Brésil, 1h52)

  • 18h30 :L’ACRE PARFUM DES IMMORTELLES

En présence du réalisateur jean-Pierre Thorn

(de Jean-Pierre Thorn, France, 1h19)

Au récit enflammé d’une passion amoureuse se mêle la folle espérance soulevée par Mai 68. Jean-Pierre Thorn remonte le fil de sa vie pour retrouver les figures rebelles qui ont peuplé ses films : des ouvriers en lutte des années 70 jusqu’à leurs enfants du mouvement hip-hop… et aujourd’hui les gilets jaunes d’un rond-point à Montabon. Ensemble, ils composent une fresque lumineuse qui prolonge et répond aux lettres de son amante trop vite fauchée par la mort. Ils montrent combien la rage de Mai est plus que jamais vivante : telle la braise qui couve sous la cendre

  • 20h 45: INDIANARA

(de Aude Chevalier-Beaumel, Marcelo Barbosa, Brésil, 1h24) SORTIE NATIONALE

Dans un Rio en ébullition, la colère gronde. Indianara, révolutionnaire hors norme, mène avec sa bande un combat pour la défense des minorités et la survie des personnes transgenres au Brésil. Face à la menace totalitaire qui plane sur le pays, une seule injonction : résister !

  • 20h 45 : VIVRE ET CHANTER

(de Johny Ma, Chine, 1h39)

Zhao Li dirige une troupe d’opéra traditionnel Sichuan qui vit et joue ensemble dans la banlieue de Chengdu. Quand elle reçoit un avis de démolition pour son théâtre, Zhao Li le cache aux autres membres de la compagnie et décide de se battre pour trouver un nouveau lieu, où ils pourront tous continuer de vivre et chanter. S’engage alors une lutte pour la survie de leur art.

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JEUDI 28 novembre :

  • 18h 30 : TALKING ABOUT TREES

(de Suhaib Gasmelbar, Soudan; 1h33) en AVANT-PREMIERE

Ibrahim, Suleiman, Manar et Altayeb, cinéastes facétieux et idéalistes, sillonnent dans un van les routes du Soudan pour projeter des films en évitant la censure du pouvoir. Ces quatre amis de toujours se mettent à rêver d’organiser une grande projection publique dans la capitale Khartoum et de rénover une salle de cinéma à l’abandon. Son nom ? La Révolution…

  • 18h30 : VIVRE ET CHANTER

voir séance ci-dessus mercredi 27 à 20h45

  • 20h30: CEUX QUI NOUS RESTENT

en présence d’Abraham Cohen

(de Abraham Cohen, France, 1h55) en AVANT-PREMIERE

Pendant 2 ans, la lutte des salariés et des spectateurs du cinéma Le Méliès a agité la ville de Montreuil. Ceux qui nous restent restitue la mémoire et la vitalité de ces moments de grève, de rage, d’espoir et rend hommage aux films qui nous font vivre.

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VENDREDI 29 novembre

  • 15h :NOURA RÊVE

(de Rubaiyat Hossain, Tunisie, 1h30)
5 jours, c’est le temps qu’il reste avant que le divorce entre Noura et Jamel, un détenu récidiviste, ne soit prononcé. Noura qui rêve de liberté pourra alors vivre pleinement avec son amant Lassad. Mais Jamel est relâché plus tôt que prévu, et la loi tunisienne punit sévèrement l’adultère : Noura va alors devoir jongler entre son travail, ses enfants, son mari, son amant, et défier la justice…

 

  • 18h30 :POUR SAMA

(de Waad al-Kateab, Edward Watts, Syrie, 1h35)

Waad al-Kateab est une jeune femme syrienne qui vit à Alep lorsque la guerre éclate en 2011. Sous les bombardements, la vie continue. Elle filme au quotidien les pertes, les espoirs et la solidarité du peuple d’Alep. Waad et son mari médecin sont déchirés entre partir et protéger leur fille Sama ou résister pour la liberté de leur pays

  • 18h30 :ESTHER KAHN

présentation par Maylis de Kerangal

(de Arnauid Desplechin, France, 2h25)

Londres, à la fin du XIXe siècle. Esther Kahn vit dans le East End. Ses parents sont émigrants juifs. Tous travaillent dans l’atelier de couture familial. Esther est lente et bornée, elle n’a d’avis sur rien, elle n’a de sentiment pour personne: Esther est une pierre. Un soir, au théâtre, Esther se « réveille » et s’anime: elle ne regarde pas les pièces comme les autres, elle les vit. Elle décide de devenir actrice. Commence alors son apprentissage du théâtre et de la vie qui l’amènera un soir a ressentir d’un seul coup, sur scène, vingt ans de vie jusqu’alors étouffée.

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SAMEDI 30 novembre

  • 10h30 :TENZO

(de Katsuya Tumita, Japon, 1h03) SORTIE NATIONALE

Face à la crise sociale, Chiken, bonze bouddhiste, s’investit dans plusieurs activités, comme le soutien téléphonique aux suicidaires, à son temple de Yamanashi. À Fukushima, son vieux camarade Ryûgyô, dont le temple a été ravagé par le tsunami, vit dans un préfabriqué et travaille sur les chantiers.

  • 10h30 :LES MONDES IMAGINAIRES DE JEAN-FRANCOIS LAGUIONIE

(de Jean-François Laguionie, France, 1h18)

Un acteur, le diable, une demoiselle, un violoncelliste, une bombe, le hasard, Potr’, la fille des eaux, Noé, son arche, l’Atlantique, sa traversée : une décennie de création de Jean-François Laguionie regroupée en un seul programme, une seule histoire. Celle de la représentation des mondes imaginaires, parfois surréalistes, toujours poétiques, de l’un des plus talentueux auteurs du cinéma d’animation français. Sept films réalisés entre 1967 et 1978, hors des modes, hors du temps, et pour tous les publics.

– L’Acteur, 1975, 5’35

– Le masque du diable, 1976, 12’

– La demoiselle et le violoncelliste, 1964, 9’

– Une bombe par hasard, 1969, 9’

– Potr’ et la fille des eaux, 1974, 11’

– L’Arche de Noé, 1967, 11’

– La traversée de l’Atlantique à la rame, 1978, 21’

  • 14h :INDIANARA

Deuxième projection, voir séance mercredi 27 à 20h45

  • 14h :LE CHÂTEAU DES SINGES

(de Jean-François Laguionie, France, 1h20 SORTIE NATIONALE
A partir de 3 ans : Il y a bien longtemps le peuple des singes vivait paisiblement dans la savane lorsqu’un formidable cataclysme les sépara en deux tribus. Certains réussirent à échapper à l’inondation en grimpant aux arbres, d’autres se réfugièrent sur un rocher. Le temps a passé, avec des évolutions bien différentes pour les uns et pour les autres…

Notre histoire commence chez les Woonkos, ceux qui habitent la canopée et dont la seule peur est de tomber dans « le monde d’en bas » qu’ils croient peuplé de monstres maléfiques. Le Jeune Kom, notre héros refuse de croire ces balivernes et, par provocation et imprudence, le voici projeté dans ce fameux monde, celui des Laankos et dans l’univers du Château des Singes.

Miraculeusement sauvé par le ROI, il découvre avec l’aide de la petite servante GINA et du vieux MAÎTRE FLAVIUS, la civilisation et les coutumes des habitants du Château. Il a tôt fait, grâce à sa franchise et à sa bonne humeur, de devenir le bouffon du Roi. Mais les forces du mal rôdent et le Grand Chambellan, SÉRIGNOLE, acoquiné au simple d’esprit, GORINE, complote pour prendre le pouvoir en empoisonnant lentement la Princesse IDA.

Le jeune KOM devra faire face à de nombreuses péripéties pour arriver à déjouer les manœuvres des ennemis du royaume, sauver la Princesse et faire le lien entre les deux peuples…

  • 16h30 : LE VOYAGE DU PRINCE

(de Jean-François Laguionie, France, 1h18)

Un vieux prince échoue sur un rivage inconnu. Blessé et perdu, il est retrouvé par le jeune Tom et recueilli par ses parents, deux chercheurs contraints à l’exil… Le prince, guidé par Tom, découvre avec enthousiasme et fascination une société pourtant figée et sclérosée.

  • 16h30: : POUR SAMA

voir première projection ci-dessus  jeudi 28 à 20h45

  • 18h30 : GWEN, LE LIVRE DE SABLE

(de jean-François Laguionie, France, 1h07)

Le  » Makou « , une entité malfaisante, attend le retour des Dieux dans le vaste désert de sable.

  • 18h30 :L’ORPHELINAT

(de Shahrbanoo Sadat,, Afghanistan, 1h30) SORTIE NATIONALE

Kaboul, fin des années 80. Le jeune et débrouillard Qodrat gagne sa vie en revendant des tickets pour aller voir ses films Bollywoodiens préférés. Rattrapé par la police, il se retrouve à l’Orphelinat où il s’imagine héros de Bollywood, combattant aux côtés de ses nouveaux amis l’invasion rebelle les menaçant.

  • 20h45 :LES SIFFLEURS

(de Corneliu Porumboiu, Roumanie, 1h38) en AVANT-PREMIERE
Cristi, un inspecteur de police de Bucarest, corrompu par des trafiquants de drogue, est soupçonné par ses supérieurs et, est mis sur écoute. Embarqué malgré lui par la sulfureuse Gilda sur l’île de la Gomera, il doit apprendre vite le Silbo, une langue sifflée ancestrale. Grâce à ce langage secret, il pourra libérer en Roumanie un mafieux de prison et récupérer les millions cachés. Cependant, l’amour va s’en mêler et rien ne se passera comme prévu.
(la bande-annonce n’est pas sous-titrée en français, mais on comprend tout de même..)

  • 20h45 :TERMINAL SUD

(de Rabah Ameur-Zaïmeche, Algérie-France, 1h36)

Dans un pays plongé dans un climat d’insécurité, un médecin tente malgré tout d’accomplir son devoir au sein d’un centre hospitalier, jusqu’au jour où son destin bascule…

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DIMANCHE 01 décembre

  • 10h30 :QUAND PASSENT LES CIGOGNES

(de Mikhaïl Kalatozov, URSS 1957, 1h37)

Moscou, 1941. Veronika et Boris sont éperdument amoureux. Mais lorsque l’Allemagne envahit la Russie, Boris s’engage et part sur le front. Mark, son cousin, évite l’enrôlement et reste auprès de Veronika qu’il convoite. Sans nouvelle de son fiancé, dans le chaos de la guerre, la jeune femme succombe aux avances de Mark. Espérant retrouver Boris, elle s’engage comme infirmière dans un hôpital de Sibérie

  • 10H30 :LE TABLEAU

(de Jean-François Laguionie, France, 1h16); A partir de 6 ans, sans limite.

Un château, des jardins fleuris, une forêt menaçante, voilà ce qu’un Peintre, pour des raisons mystérieuses, a laissé inachevé. Dans ce tableau vivent trois sortes de personnages : les Toupins qui sont entièrement peints, les Pafinis auxquels il manque quelques couleurs et les Reufs qui ne sont que des esquisses. S’estimant supérieurs, les Toupins prennent le pouvoir, chassent les Pafinis du château et asservissent les Reufs. Persuadés que seul le Peintre peut ramener l’harmonie en finissant le tableau, Ramo, Lola et Plume décident de partir à sa recherche. Au fil de l’aventure, les questions vont se succéder : qu’est devenu le Peintre ? Pourquoi les a t-il abandonnés ? Pourquoi a-t-il commencé à détruire certaines de ses toiles ! Connaîtront-ils un jour le secret du Peintre ?

  • 14h00 :L’ORPHELINAT

voir première projection ci-dessus  SAMEDI 30 à 18H30

  • 14h00 :LOUISE EN HIVER

(de Jean-François Laguionie, France)

Une grand-mère doit survivre seule durant tout un hiver dans une station balnéaire déserte…

  • 15H45 :NOURA RÊVE

voir première projection ci-dessus  vendredi 29 à 18H30

  • 15h45 :KONGO

(de Hadrien La Vapeur et Corto Vaclav, Congo, 1h10) SORTIE NATIONALE

À Brazzaville, un monde invisible régit le monde visible. L’apôtre Médard se démène pour guérir les malades victimes de mauvais sorts. Mais sa vie bascule lorsqu’on l’accuse publiquement de pratiquer la magie noire.

  • 17h45 :LA STRADA

présentation par Marie-Pierre Lafargue, professeur de cinéma à Toulouse

(chef d’oeuvre néo-réaliste et poétique de Federico Fellini, Italie, 1954)

Gelsomina a été vendue par sa mère à Zampano, qui la brutalise et ne cesse de la tromper. Ils partent ensemble sur les routes, vivant misérablement du numéro de saltimbanque de Zampano. Surgit Il Matto (le fou), violoniste et poète, qui seul sait parler à Gelsomina.

  • 17H30 :IL ETAIT UNE FOIS DANS L’EST

(de Larissa Sadilova, Russie, 1h30) en AVANT-PREMIERE

Chronique du village de Troubtchevsk dans la campagne russe contemporaine.
La bande annonce ci-dessous est sous-titrée en anglais

  • 20h45 :LE MIRACLE DU SAINT INCONNU

(de Alaa Eddine Aljem, Maroc, 1h36) en AVANT-PREMIERE

Au beau milieu du désert, Amine court. Sa fortune à la main, la police aux trousses, il enterre son butin dans une tombe bricolée à la va-vite. Lorsqu’il revient dix ans plus tard, l’aride colline est devenue un lieu de culte où les pèlerins se pressent pour adorer celui qui y serait enterré : le Saint Inconnu. Obligé de s’installer au village, Amine va devoir composer avec les habitants sans perdre de vue sa mission première : récupérer son argent.

  • 20h45 : WHERE IS HENDRIX ?

(de Marios Pîperides, Chypre, 1h33) en AVANT-¨PREMIERE

Alors que Chypre traverse une crise financière, Yiannis tente de se dépêtrer d’une crise personnelle. Il est criblé de dettes et éprouve toujours des sentiments pour son ex-petite amie Kika, dont il garde le chien. Yiannis s’apprête à quitter Nicosie mais ses plans changent brutalement quand le chien s’échappe pendant une promenade et s’enfonce dans les quartiers turcs de la ville. Yiannis se retrouve alors confronté aux lois diplomatiques et aux règlementations absurdes de l’Union européenne, qui énoncent qu’on ne peut pas “importer” un animal d’un territoire non-européen sur un sol “grec”

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LUNDI  02 décembre

  • 18h30: NUESTRAS MADRES

(de César Diaz, Guatemala, 1h18) en AVANT-PREMIERE

Guatemala, 2018. Le pays vit au rythme du procès des militaires à l’origine de la guerre civile. Les témoignages des victimes s’enchaînent. Ernesto, jeune anthropologue à la Fondation médico-légale, travaille à l’identification des disparus. Un jour, à travers le récit d’une vieille femme, il croit déceler une piste qui lui permettra de retrouver la trace de son père, guérillero disparu pendant la guerre. Contre l’avis de sa mère, il plonge à corps perdu dans le dossier, à la recherche de la vérité et de la résilience.
La bande-annonce est sous-titrée en français et en néerlandais (ou en syldave ?)

  • 18h30: GHOST TROPIC

(de Bas Devos, Belgique, 1h25) en AVANT-PREMIERE

Khadija, 58 ans, s’endort dans le métro après une longue journée de travail. Quand elle se réveille au terminus, elle n’a pas d’autre choix que de poursuivre son chemin à pied. Ce voyage nocturne l’oblige à demander de l’aide auprès des résidents de la nuit.

  • 20h30: UNE MERE INCROYABLE

(de Franco Lolli, Colombie, 1h37) en AVANT-PREMIERE

À Bogota, Silvia, mère célibataire et avocate, est mise en cause dans un scandale de corruption. À ses difficultés professionnelles s’ajoute une angoisse plus profonde. Leticia, sa mère, est gravement malade. Tandis qu’elle doit se confronter à son inéluctable disparition, Sylvia se lance dans une histoire d’amour, la première depuis des années.

  • 20h30: MADE IN BENGLADESH

(de Rubaiyat Hossain, 1h37) en AVANT-PREMIERE
Shimu, 23 ans, travaille dans une usine textile à Dacca, au Bangladesh. Face à des conditions de travail de plus en plus dures, elle décide avec ses collègues de monter un syndicat, malgré les menaces de la direction et le désaccord de son mari.Ensemble, elles iront jusqu’au bout.

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MARDI  03 décembre

  • 20h 45: TERMINAL SUD

voir première projection ci-dessus samedi 30 à 20h45

  • 20h 45: TEMPORADA

voir première projection ci-dessus  mercredi 27 à 15h00

  • 20h 45: IT MUST BE HEAVEN

(de Elia Suleiman, Palestine, 1h37) en AVANT-PREMIERE

Elia Suleiman fuit la Palestine à la recherche d’une nouvelle terre d’accueil, avant de réaliser que son pays d’origine le suit toujours comme une ombre. La promesse d’une vie nouvelle se transforme vite en comédie de l’absurde. Aussi loin qu’il voyage, de Paris à New York, quelque chose lui rappelle sa patrie.
Un conte burlesque explorant l’identité, la nationalité et l’appartenance, dans lequel Elia Suleiman pose une question fondamentale : où peut-on se sentir  » chez soi  » ?

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